Fondements théoriques de la comptabilité des marchandises. Comptabilité dans le commerce Reflet du mouvement des marchandises dans les comptes comptables
Salutations. Le sujet de l'article d'aujourd'hui portera sur ce que font la plupart des entreprises de notre pays. Je parle de ce type d'activité comme étant du commerce.
Comptabilisation des marchandises en comptabilité - un minimum de théorie
Les marchandises font partie de la propriété d’une entreprise achetée en vue de la revente. La vente de marchandises constitue l'activité principale. Le compte comptable principal pour le travail avec les marchandises est le compte 41 « Marchandises ».
Voici ce que vous pouvez faire avec les marchandises :
- acheter
- vendre
- se déplacer dans les entrepôts, gâcher, détecter les défauts, les inadéquations, amortir les pénuries, capitaliser les excédents
Achat de biens
La façon la plus courante d’acheter des biens est de les acheter directement auprès des fournisseurs.
Mais dans les organisations commerciales, il existe des cas où le produit requis est temporairement indisponible, mais vous ne voulez pas perdre un acheteur (vous ne voulez pas lui donner une raison de s'adresser à un concurrent). Voici ce que font les entreprises : un employé prend de l'argent à la caisse et se rend dans les magasins (entreprises) où il achète une petite quantité du produit souhaité. Ensuite, il revient, soumet les documents au service comptable et les marchandises achetées sont déposées sur le comptoir (dans l'entrepôt).
Vente de biens
Une organisation engagée dans le commerce peut vendre des biens en gros et au détail. La vente en gros représente les ventes d'une entreprise à une autre, le plus souvent pour la revente. Les ventes au détail sont des ventes au consommateur final, le plus souvent des ventes aux particuliers. Cependant, les entreprises, représentées par des fournisseurs (personnes responsables), viennent également dans les magasins de détail et achètent les produits dont elles ont besoin.
Une caractéristique du commerce de gros réside dans les paiements autres qu'en espèces entre entreprises, et les montants n'y sont pas de 100 roubles chacun. Le commerce de détail est une vente au comptant, généralement en pièces ou en petites quantités - en général incomparable aux montants et quantités du commerce de gros.
Pour comptabiliser les marchandises dans les ventes au détail, c'est-à-dire dans les magasins, pavillons, stands, etc. en comptabilité, en plus de 41 comptes, 42 « Marge commerciale » sont également utilisées. Ainsi, les magasins se voient attribuer des marchandises avec le prix d'achat majoré du prix de détail. Cette majoration est fixée sur le compte 42.
Le compte 44 est inextricablement lié aux organisations commerciales. Ce qui y est pris en compte, comment il « clôture à la fin du mois », de manière générale, nous en avons déjà discuté dans des articles précédents.
Documents primaires pour la comptabilité des marchandises
Regardez des exemples de documents primaires.
À partir de l’exemple écrit ci-dessus, concernant le comptable qui s’est rendu dans un magasin voisin et a acheté certains des biens nécessaires à son entreprise, nous devons le documenter. Mais le document « Achat de marchandises » ne fonctionnera pas, puisqu'il travaille directement avec les fournisseurs. Et dans notre cas, la marchandise a été apportée par une personne responsable. Qu’allons-nous formaliser ici ?
Tout est très simple. Lorsqu'il y a une personne responsable, il y aura toujours un document « rapport préalable ». Dans ce document, la personne responsable indique où et sur quoi il a dépensé l'argent reçu de la caisse enregistreuse.
Interaction des marchandises en comptabilité avec d'autres comptes
Essayez maintenant d'écrire vous-même les principaux comptes, avec lesquels 41 comptes interagissent.
Compte de marchandises dans le plan comptable
Jetons un coup d'œil au plan comptable et regardons les 41 comptes et leurs caractéristiques.
Essayez d'écrire sur la partition. Regardez ses caractéristiques et écrivez ce qu'elles signifient et où elles apparaissent.
En plus
En conclusion, je voudrais souligner que la comptabilisation du produit lui-même n'est pas compliquée. Je conviens que le processus demande beaucoup de main-d'œuvre si l'entreprise dispose d'un grand point de vente au détail. Les principales difficultés des sociétés commerciales concernent les marchandises dans les entrepôts : leur sécurité, leur vol, etc.
La chose la plus difficile pour les organisations commerciales exerçant des activités de vente en gros et au détail est peut-être de se conformer aux règles comptables de la TVA. Car les entreprises qui font principalement du commerce de gros sont des entreprises bénéficiant d'un régime fiscal général (OSNO) et elles sont tenues de prendre en compte et de payer la TVA. Le commerce de détail bénéficie d'un régime fiscal spécial où il n'y a pas de TVA.
Le hic, c'est qu'une entreprise qui vend en gros et au détail, lorsqu'elle achète un produit, ne sait jamais exactement combien et ce qu'elle vendra séparément au gros et séparément au détail. Cette « ignorance » se traduit alors par des efforts supplémentaires pour comptabiliser la TVA sur les biens, services, etc. achetés.
Comptabilisation des marchandises en comptabilité est maintenu sur le compte 41 « Marchandises ». Y a-t-il une différence dans la comptabilisation des marchandises dans le commerce de gros et de détail ? Quelles nuances comptables surviennent lors de la vente de stocks par l'intermédiaire d'un agent ou lors du stockage de marchandises dans les entrepôts d'un tiers ? Lisez les réponses à ces questions et à d’autres dans l’article.
Comptabilisation de l'entrée de marchandises
Les marchandises sont des stocks achetés en vue d'une vente ultérieure sans transformation supplémentaire. La réception des articles en stock se traduit par le débit du compte 41 en correspondance avec les comptes de règlement mutuel : 60, 71, 75, 86, etc. (plan comptable approuvé par arrêté du ministère des Finances du 31 octobre 2000 n°94n) .
Les marchandises sont acceptées pour la comptabilisation au coût réel (article 5 du PBU 5/01), qui comprend tous les coûts engagés lors de l'achat d'articles en stock :
- paiement des marchandises au fournisseur ;
- les coûts de transport;
- services d'informations et de conseils;
- droits de douane;
- taxes non remboursables, etc.
Parallèlement, les entreprises qui utilisent des méthodes comptables simplifiées peuvent prendre en compte les coûts directs mentionnés ci-dessus dans le cadre des coûts des activités ordinaires, à condition qu'il n'y ait pas de soldes de stocks significatifs (clause 13.2 du PBU 5/01).
La comptabilisation des marchandises dans le commerce de gros et de détail présente certaines différences. Les entreprises qui vendent des biens en gros les enregistrent au coût d’acquisition. Les entreprises de vente au détail ont le droit de choisir de comptabiliser le coût des articles en stock : soit au prix d'achat, soit au prix de vente, avec prise en compte séparée des majorations et des remises (article 13 du PBU 5/01). L'option comptable choisie doit être sécurisée en tant qu'élément de la politique comptable de l'entreprise.
Regardons les principales transactions lors de l'arrivée des marchandises.
Marchandises reçues du fournisseur |
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TVA attribuée |
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Dépenses connexes reflétées |
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TVA répartie sur les dépenses annexes |
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Balisage reflété |
La comptabilité analytique du compte 41 est organisée en fonction des entrepôts, des personnes financièrement responsables, des noms des articles en stock, etc.
Comptabilisation des ventes de biens dans une organisation
Lors de la vente d'articles en stock, ceux-ci sont évalués selon :
- Coût moyen.
- Le coût de chaque unité.
- Méthode FIFO (les premiers biens achetés sont amortis en premier).
Lors des ventes au détail, le prix de vente est amorti au débit du compte 90.2 « Coût des ventes », et la majoration est annulée. En comptabilité, ces transactions ressemblent à ceci :
La vente de biens doit être accompagnée des documents suivants :
- Pour le commerce de gros :
- Lettre de voiture au format TORG-12.
- Facture.
- Documents de transport : lettre de voiture au format T-1 et/ou lettre de voiture.
- Pour le commerce de détail :
- Contrôle KKM.
- Reçu de vente (délivré à la demande de l'acheteur).
Comment les marchandises transférées pour stockage sont-elles comptabilisées ?
Les entreprises peuvent fournir des services de stockage de marchandises. De telles relations sont réglementées par le Ch. 47 Code civil de la Fédération de Russie. Les principaux acteurs du contrat de stockage sont le gardien (la personne qui a accepté les marchandises en lieu sûr) et le bailleur (l'entreprise qui a remis les marchandises et le matériel à stocker). Dans ce cas, le droit de propriété sur les biens et matériels ne passe pas au dépositaire et les marchandises doivent être restituées dans les conditions précisées dans le contrat.
Le transfert de marchandises et de matériels est formalisé par un certificat de transfert et de réception sous forme MX-1, et le retour est accompagné d'un acte sous forme MX-3.
Des formulaires et des exemples de remplissage des formulaires ci-dessus peuvent être trouvés dans les publications :
IMPORTANT! Les organisations ont le droit de développer de manière indépendante des formulaires comptables en tenant compte de leurs besoins.
Comptabilité avec le bailleur
Étant donné que le transfert de marchandises et de matériaux pour stockage n'implique pas un transfert de propriété, les marchandises continuent d'être comptabilisées au bilan de l'entreprise même après leur transfert vers un stockage secondaire (physiquement, le lot de marchandises se trouve dans l'entrepôt du dépositaire). entreprise). Le câblage dans ce cas ressemblera à ceci :
- Dt 41 (entrepôt de la société dépositaire) Kt 41 (entrepôt de l'expéditeur).
Comptabilité avec le dépositaire
La société dépositaire enregistre les articles en stock transférés en garde dans le compte de hors-bilan 002. Dans ce cas, la comptabilité analytique est organisée par propriétaires, types, qualités de marchandises, entrepôts de stockage et personnes financièrement responsables.
La réception des marchandises est enregistrée au débit du compte 002, la cession - à son crédit. Les rémunérations et dépenses engagées au titre de la prestation de services de stockage pour la société dépositaire sont des produits et charges des activités ordinaires.
Comptabilisation des marchandises vendues par un intermédiaire
Lors de la vente de stocks par l'intermédiaire d'un intermédiaire, la comptabilité des marchandises est organisée de manière particulière. Dans ce cas, les marchandises ne deviennent pas sa propriété, et la comptabilisation des articles en stock chez l'intermédiaire est organisée à l'aide du compte hors-bilan 004 « Marchandises acceptées en commission ».
Résultats
Étant donné que les marchandises constituent le principal actif courant des sociétés commerciales, une comptabilité des stocks claire et organisée est très importante pour elles. Dans le même temps, la procédure comptable dépend du type d'activité, de la taille de l'entreprise, du système fiscal et du type de relation juridique sur la base de laquelle les biens et matériaux sont transférés (acceptés) pour possession, garde ou vente. .
Il n'est possible d'établir une comptabilité normale des marchandises dans le commerce de détail qu'en connaissant les bases de la comptabilité et en utilisant un logiciel. Sans cela, les entrepreneurs risquent de recevoir des amendes lors du prochain contrôle fiscal.
Caractéristiques de vente au détail
Le commerce de détail conventionnel consiste à satisfaire le client final. En s'y engageant, les entrepreneurs sont obligés d'organiser les processus de réception, de vente, de radiation et de mouvement interne des produits. De plus, le commerce de détail présente des différences par rapport à la vente en gros de marchandises, qui doivent être prises en compte lors de la tenue des registres comptables et fiscaux.
Qu’en est-il du commerce de détail ?
Vous pouvez retrouver la notion de commerce de détail à l'article 492 du Code civil. Il stipule qu'au détail, le vendeur vend à l'acheteur des biens destinés uniquement à un usage domestique, familial ou autre, non professionnel. C'est-à-dire que le client achète un article sans avoir l'intention de le revendre ou de l'utiliser pour la fabrication d'autres produits.
Le paiement au détail peut être effectué en espèces ou par carte bancaire. Si l'argent a été transféré par virement bancaire à une personne morale, une telle vente ne peut pas être considérée comme une vente au détail. Cette règle limite souvent les opportunités des entrepreneurs travaillant sur un brevet et l'UTII.
C’est dans le commerce de détail que se produit l’interaction entre l’offre et la demande, grâce à laquelle les fabricants et les grossistes peuvent évaluer les besoins de l’acheteur final pour un produit. Jusqu'à ce que les clients évaluent les propriétés de consommation d'un produit, il est très difficile de prédire ses ventes futures.
Dans le cadre des travaux sur un brevet et l'UTII, le commerce de détail présente ses propres caractéristiques, qui sont reflétées dans les articles 346.27 et 346.43 du Code des impôts de la Fédération de Russie. La plupart de ces restrictions concernent la vente de produits soumis à accise et de produits utilisés à des fins commerciales.
Tâches de comptabilité de détail
La comptabilité classique dans le commerce de détail permet de gérer tous les processus commerciaux caractéristiques de ce domaine.
Ses principales missions sont :
- exécution correcte des transactions avec des marchandises ;
- contrôle de la sécurité des produits grâce aux stocks ;
- suivi opérationnel de l'état des stocks ;
- identification des marchandises à rotation lente ;
- identification des personnes financièrement responsables des coûts ;
- prix ;
- systématisation de l'actif et du passif;
- description des processus métiers avec écritures comptables ;
- génération de rapports sur les opérations de trading.
La mise en œuvre systématique des tâches de comptabilité des stocks dans le commerce de détail permet à un entrepreneur de gérer facilement une entreprise et de maintenir le respect de toutes les exigences légales en la matière.
Principes de comptabilité des ventes au détail
Une comptabilité correcte des marchandises dans le commerce de détail doit être effectuée selon les principes suivants :
- continuité de la comptabilité dans le temps ;
- comptabiliser absolument toutes les transactions ;
- le respect des exigences légales ;
- unité des méthodes comptables conformément à la méthodologie choisie par l'entreprise ;
- réaliser des inventaires systématiques;
- répartition de la responsabilité financière entre les employés.
Le respect des principes ci-dessus est obligatoire pour la systématisation et l'unification des opérations commerciales.
Les assistants intégraux des entrepreneurs - et - contribuent à y parvenir.
Options pour déterminer le coût des marchandises
Le prix d'achat peut être défini comme la somme des frais engagés pour l'achat du produit. Le coût fiscal et comptable est déterminé quelque peu différemment, comme le reflète le tableau ci-dessous.
Un certain nombre de frais liés à l'achat d'un produit ne peuvent pas être inclus dans son prix d'origine en raison des règles fiscales. Par ailleurs, les frais de transport sont en outre répartis entre les marchandises vendues et invendues selon l'algorithme décrit à l'article 320 du Code général des impôts. Selon celui-ci, les coûts mensuels directs de transport sont calculés comme suit :
- Aux frais de transport pour la livraison des marchandises dans le mois en cours s'ajoutent les frais liés au solde des produits à la fin du mois précédent.
- Au montant du prix d'achat des biens vendus au cours du mois, ajoutez un indicateur similaire d'invendus à la fin du mois précédent.
- Divisez l'indicateur du point 1 par l'indicateur du point 2, pour obtenir le pourcentage moyen des coûts de transport directs.
- La part des frais pour les invendus est déterminée en multipliant les 3 pour cent obtenus au paragraphe par le montant du prix d'achat des produits restant à la fin du mois.
Lors du calcul de l’impôt sur les bénéfices du commerce de détail, seuls les frais de transport des produits réellement vendus sont pris en compte. A cet effet, les frais calculés au paragraphe 4 de l'algorithme ci-dessus sont soustraits du montant total des frais de livraison.
La détermination correcte de la structure des coûts est très importante. Il permet non seulement d'estimer les coûts réels d'achat des produits, mais également de se conformer aux exigences du Code des impôts. Après tout, si le calcul est incorrect, les inspecteurs non seulement compteront tous les paiements dus, mais infligeront également une amende considérable.
Méthodes de tenue de la comptabilité des matières premières
La méthode de comptabilité des stocks dans un magasin de détail est déterminée par la méthodologie établie par la direction de l'entreprise. Les entrepreneurs peuvent choisir l’une des deux options prévues par la loi :
- Comptabilisation des produits aux prix d'achat.
- Comptabilité basée sur le prix de vente, en tenant compte de la majoration sur les marchandises.
La deuxième méthode est plus courante dans les points de vente car elle est plus facile à comprendre. Mais si un entrepreneur est assujetti à la TVA, pour éviter toute confusion, il est plus facile d'utiliser la comptabilité au coût de base.
Pour déterminer correctement la valeur ajoutée et la TVA de chaque article, un « Registre des prix de détail » est constitué. Il permet de prendre en compte le rôle des composantes financières dans le prix final du produit. Lors de la revalorisation des produits, un acte correspondant et une liste d'inventaire sont établis. Ils constituent la preuve documentaire de cette transaction commerciale.
Comptabilisation de l'achat de biens
Les écritures comptables pour la réception des marchandises commencent au moment où elles arrivent à l'entrepôt ou au point de vente. Chaque opération doit s'appuyer sur un document primaire : TTN, facture, certificat de réception ou autre. Les salariés doivent connaître les règles d'acceptation des marchandises en magasin afin de se protéger d'éventuelles erreurs. Il est important que TSD dispose de certificats de qualité.
Les produits proposés dans un point de vente au détail proviennent généralement de fabricants locaux ou de grossistes. Après acceptation, les documents primaires sont saisis dans le système de comptabilité des marchandises au détail, dans lequel les comptabilisations sont effectuées automatiquement. Les produits sont crédités au compte 41, bien qu'il puisse également comprendre des sous-comptes analytiques : « Marchandises en entrepôt », « Marchandises dans le rayon n°1 », « Marchandises dans le rayon n°2 », etc.
Les écritures pour différentes méthodes de comptabilité des matières premières sont différentes. Lors du calcul aux prix de vente, la marge commerciale au crédit du compte 42 est reflétée séparément. Les comptabilisations impliquant la TVA ne sont effectuées que si l'entrepreneur est redevable de cette taxe. Si vous disposez d'un programme personnalisé de comptabilisation des marchandises, toutes les opérations comptables nécessaires sont effectuées automatiquement, conformément aux politiques comptables de l'entreprise.
Comptabilisation des ventes de marchandises
La comptabilité dans le commerce de détail se termine par la réalisation d'écritures lors de la vente de produits au consommateur final. Les ventes de marchandises s'effectuent dans la plupart des magasins par la délivrance d'un reçu fiscal. Cette opération se traduit au crédit du compte 90, conformément au schéma ci-dessous.
Selon le mode de paiement, les transactions lors de la comptabilisation des marchandises au détail peuvent différer. Lorsque vous payez des marchandises avec une carte bancaire, elles seront légèrement différentes.
Lors d'une vente avec paiement anticipé par exemple, les transactions seront effectuées selon ce schéma.
En fin de journée, le caissier fait un rapport. Avec l’introduction du nouveau CCP, la nécessité de remplir des registres papier quotidiens a disparu. Si les produits ne sont pas vendus dans la surface de vente, mais depuis un entrepôt, l'acheteur doit alors recevoir une facture en plus du reçu. Il est établi en deux exemplaires et constitue la base de la réalisation d'une opération d'entrepôt.
Tous les documents relatifs à la réception et à la vente des marchandises doivent être conservés dans l'entreprise pendant au moins 4 ans. Après cela, ils peuvent être détruits.
Comment calculer le revenu des ventes au détail
Dans un magasin de détail, la comptabilité permet de connaître le montant du revenu net perçu par l'entrepreneur. Afin de ne pas extraire trop d'argent de la circulation, il est nécessaire de comprendre clairement quelle partie du produit constitue un profit. Pour ce faire, vous devez déterminer le montant des majorations de tous les biens vendus et en soustraire les coûts actuels.
C'est bien si tous les produits ont le même pourcentage de majoration. Cependant, cette situation est assez rare même dans les magasins de vêtements. Après tout, les clients bénéficient de réductions et certains produits doivent être périodiquement réduits. Par conséquent, pour calculer correctement les bénéfices, il est plus facile d'utiliser des fonds.
Ils vous permettent de contrôler facilement les opérations de l'entrepôt, les ventes via la caisse enregistreuse, les mouvements internes et autres actions avec les produits. Ils calculent automatiquement les bénéfices pour la période sans une seule erreur. Par conséquent, un entrepreneur peut toujours être sûr qu’il n’a pas retiré un rouble supplémentaire du chiffre d’affaires du point de vente.
Avantages de l'automatisation comptable dans le commerce
Les balances intégrées et les lecteurs de codes-barres sont depuis longtemps devenus un équipement standard dans les points de vente. Toute cette technologie facilite et rend les processus commerciaux plus simples et plus transparents. Même les propriétaires de petits rayons de vente d'épicerie ont apprécié les avantages de la comptabilité électronique.
Les principaux avantages de son utilisation dans un magasin de détail sont :
- contrôle à distance de toutes les opérations commerciales ;
- pertinence des formulaires de déclaration ;
- minimiser les erreurs et faire gagner du temps au personnel pour les éliminer ;
- transparence fiscale des entreprises;
- une base puissante d'outils marketing : maintenance des bases de données clients, support des programmes de fidélité, reflet des remises, etc. ;
- la capacité d'évaluer l'efficacité des actions marketing ;
- réduction des frais de bureau ;
- facilité de génération de rapports obligatoires ;
- disponibilité d'outils de recherche des groupes de produits les plus rentables et illiquides.
Les possibilités varient considérablement. Par conséquent, avant d'acheter un logiciel, il est conseillé de réfléchir aux fonctionnalités nécessaires et de choisir la meilleure solution spécifiquement pour votre entreprise.
La comptabilité financière des marchandises du commerce de détail doit être effectuée avec beaucoup de soin, car le calcul des taxes dépend de l'exactitude des écritures. Il vaut donc mieux ne pas prendre de risques et confier ce travail de routine. En les utilisant, les entrepreneurs facilitent le travail pour eux-mêmes, pour leurs employés et pour les inspecteurs du Service fédéral des impôts lors d'un éventuel contrôle.
Le commerce de détail est une industrie de prédilection pour les inspections menées par diverses autorités de réglementation. Après tout, dans ce secteur, il y a surtout un chiffre d'affaires maximum, ce qui oblige le fisc à être plus prudent lors du contrôle de ce type d'entreprises. C'est pourquoi il est si important d'organiser une bonne comptabilité. Dans cet article, nous verrons comment s'effectue la comptabilité dans le commerce de détail.
Comptabilisation des marchandises échangées
La comptabilisation des articles en stock s'effectue sur le compte actif-passif 41 (voir → « « .). La valeur d’un bien immobilier peut être reflétée aussi bien au prix d’achat qu’au prix de vente.
Important! La méthode comptable choisie doit être enregistrée dans les politiques comptables de l'organisation.
Examinons plus en détail les avantages et les inconvénients de chaque méthode comptable.
Comptabilisation des marchandises aux prix d'achat
La méthode de comptabilisation du prix d'achat est plus courante pour le commerce de gros ou la vente au détail de biens individuels, par exemple des appareils électroménagers ou des meubles. C'est-à-dire lorsqu'il est possible de suivre le lot et le prix d'achat des biens et matériaux : comptabilité quantitative et totale. Cette approche reflétera plus correctement le résultat de la transaction pour chaque produit, et si l'entreprise utilise des systèmes de comptabilité des stocks modernes, il est alors facile d'organiser la comptabilité en utilisant cette méthode, même dans un immense supermarché. Mais si le magasin est petit, qu'il n'y a pas de systèmes automatisés et que l'assortiment est assez étendu, par exemple dans les épiceries, alors la comptabilisation des articles en stock au prix d'achat est une affaire très laborieuse et chronophage.
Les inconvénients de cette méthode incluent :
- Augmentation des coûts (systèmes automatisés ou embauche d'un spécialiste distinct) ;
- Coûts de temps et erreurs lors de l’inventaire ;
- Erreurs dans la détermination du prix de vente au détail, car les prix d'achat changent constamment, même auprès d'un seul fournisseur ;
- Manque d'efficacité, etc.
Par conséquent, la comptabilité des stocks dans le commerce de détail est le plus souvent effectuée aux prix de vente.
Comptabilisation des marchandises aux prix de vente
Pour organiser ainsi la comptabilité, une majoration est ajoutée au prix d'achat, qui se reflète dans 42. Ce compte est passif, c'est-à-dire que le chiffre d'affaires s'effectue uniquement à crédit.
Important! La marge commerciale n'est pas prise en compte dans le bilan, et donc le coût des articles en stock n'est inscrit dans le document qu'aux prix d'achat, quelle que soit la méthode de comptabilisation choisie pour les marchandises.
Le montant de la majoration peut être déterminé par :
- Ajouter un certain pourcentage au prix d'achat ;
- En ajoutant le même montant au prix de chaque produit ;
- Établir un prix unique pour un certain type de produit et en soustraire les achats.
Dans le commerce de détail, l'option 3 est le plus souvent utilisée, car différents fournisseurs peuvent avoir des prix différents pour le même produit. Et pour que les vendeurs ne se trompent pas, un prix unique lui est fixé.
Documentairement, le montant de la majoration pour chaque réception d'articles en stock est reflété dans le registre des prix de détail. Le moyen le plus pratique est d'établir un nouveau document pour chaque réception de marchandises. Vous pouvez développer le formulaire vous-même. Les détails suivants doivent être précisés :
- Titre du document ;
- Date et numéro ;
- Nomenclature;
- Prix d'achat;
- Supplément;
- Prix de vente;
- Signatures des personnes responsables.
Le commerce est une activité humaine spécifique. Il est associé au processus d’achat et de commercialisation des produits. Le commerce comprend un ensemble d'opérations économiques et technologiques. Ils assurent l’échange des valeurs matérielles. La comptabilité des biens et services revêt une importance particulière dans ce domaine.
Caractéristiques générales de l'échange
Agissant comme une branche de l’économie, le commerce constitue le marché des produits de consommation. Dans son cadre, des entreprises spécialisées fournissent des produits aux clients. La fonction de l’industrie dans son ensemble est donc de réguler en permanence le marché de consommation. Le commerce assure la vente de biens par le biais de transactions commerciales. Grâce à cela, le processus devient l'objet d'activités d'entreprises spéciales et d'autres entités économiques.
Les défis de l'industrie
Le commerce contribue à fournir des biens et des services répondant aux besoins individuels de tous les segments de la société. Cela inclut les interactions entre les entreprises de différentes formes de propriété et la population. Les gens achètent des biens avec leurs propres revenus via le réseau commercial. Les produits peuvent être en circulation pendant une certaine période. Cependant, cela finit par devenir une propriété personnelle.
La vente des biens au public constitue l'étape finale et déterminante de leur circulation. Le marché, étant une catégorie économique, couvre les relations de production et de distribution correspondantes, les interactions dans le cadre des échanges et l'interrelation de ces processus. Le commerce est présenté comme une forme de ces connexions. Il participe à la formation des relations marchandes entre les mesures de travail et de consommation. Le commerce affecte le montant du revenu réel de la population et stimule l'activité économique des individus. Les ventes s'effectuent selon différents modes. Le commerce de détail et de gros est considéré comme le plus répandu en Russie. Les ventes peuvent également être réalisées sur la base d’une commission.
Terminologie
Les concepts de base sont expliqués dans la norme d'État R 51303-99, approuvée par la résolution de la norme d'État et mise en vigueur depuis 2000. Conformément à celui-ci, le commerce est un type d'activité commerciale associée à l'achat et à la vente de produits et à la fourniture de services aux clients. Le mode vente en gros implique l'achat de produits avec leur revente ou utilisation professionnelle ultérieure. Le commerce de détail doit être compris comme le commerce et la fourniture de services aux consommateurs pour un usage familial, personnel et domestique non liés aux activités commerciales. Le régime des commissions implique le transfert de produits à des tiers dans le cadre d'accords de commission pour effectuer des transactions commerciales avec eux.
Comptabilisation des marchandises en comptabilité
Le prix des produits est déterminé sur la base de l'expression monétaire de leur valeur et des opérations de vente. Les produits finis au sein de diverses opérations (sortie de production, expédition aux clients, ventes) sont acceptés pour la comptabilisation au coût réel. Il est égal à la valeur de tous les coûts liés à la production et à la fourniture aux consommateurs. Dans la production multi-articles, le coût réel ne peut être déterminé qu'à la fin de la période de référence. La comptabilisation du mouvement des marchandises, ainsi que de leur disponibilité, est généralement effectuée dans les prix correspondants. Ils peuvent être utilisés :
- Coût standard (prévu).
- Prix du marché (négociable).
- Coût de production réduit (incomplet), qui caractérise les coûts directs.
- Autres instruments conditionnels pour exprimer les prix des produits.
Évaluation des produits finis
Le paragraphe 60 du Règlement sur la déclaration établit que la comptabilisation des marchandises en comptabilité est effectuée au coût d'achat ou aux prix de vente. La même disposition est présente à l'article 13 du PBU 5/01. L'évaluation des marchandises est le choix du prix comptable dans l'entreprise auquel les produits seront amortis et capitalisés.
Cela doit être consigné dans la documentation appropriée. Si le mouvement des marchandises est comptabilisé aux prix d'achat, leur coût est constitué conformément aux règles prévues au PBU 5/01 à l'article 6. Dans ce cas, le prix comprend tous les frais liés à l'achat des produits, avec le exception de la TVA. Les entreprises peuvent tenir des registres des ventes de biens au coût moyen pondéré. Dans ce cas, le prix unitaire moyen de chaque type de produit impliqué dans le chiffre d'affaires au cours de la période de référence est déterminé. De plus, la comptabilisation des biens échangés peut être effectuée au prix du premier ou du dernier de la période d'achat.
Méthode FIFO
Il représente la comptabilisation des marchandises au premier coût (y compris le prix des soldes) au cours du mois de déclaration au cours duquel les achats ont été effectués. Cette méthode implique l'évaluation des blancs de produits sur la base d'estimations réelles. Lors de la vente et de la cession de produits pour d'autres besoins, l'amortissement est effectué au prix des premiers achats du mois de reporting, y compris le prix des produits indiqués au début de cette période. Pour ce faire, le coût des marchandises non utilisées en fin de mois est établi. Il est déterminé en fonction des coûts des achats récents. Le coût des ventes de produits est calculé en soustrayant du prix des soldes de produits en début de mois, incluant le coût des marchandises reçues au cours du mois, le montant imputable à la quantité restante en fin de mois. La répartition entre les comptes s'effectue en fonction de l'unité moyenne de chaque type et de la quantité vendue ou cédée pour d'autres besoins.
Méthode LIFO
Cette organisation de la comptabilité marchandises permet d’assurer la cohérence entre les dépenses courantes et les revenus, et permet également de prendre en compte l’impact des processus inflationnistes sur les résultats financiers de l’entreprise. La méthode LIFO consiste à valoriser les articles en fin de mois par leur quantité et à supposer que leur coût est constitué des coûts de leurs premiers achats. Le prix des produits vendus est calculé en soustrayant du solde en début de mois, y compris les unités reçues au cours de la période, le montant correspondant au nombre de produits restants en fin de mois. La répartition entre les comptes s'effectue sur la base du coût moyen d'un échantillon de chaque type de produit et du volume de produits vendus.
Spécificités d'application des méthodes
La comptabilisation de la vente de marchandises et de leurs stocks à l'aide de ces méthodes oblige les entreprises à effectuer une évaluation analytique des produits non seulement par type, mais également par lots individuels. Le Règlement sur l'analyse des réserves de matériaux et de production prévoit une autre méthode par laquelle le coût réel de tous les produits retirés du marché est déterminé : l'amortissement du coût de chaque unité. Cette méthode est assez rarement utilisée. L'utilisation de cette méthode n'est conseillée que pour les produits dont chaque unité a un prix élevé et est généralement vendue individuellement.
Les méthodes envisagées pour valoriser les produits retirés du marché sont utilisées en stock au coût réel d'acquisition. L'entreprise, après avoir procédé à une analyse comparative des méthodes existantes, choisit elle-même la procédure selon laquelle les marchandises seront comptabilisées. Cela doit être documenté dans la documentation pertinente. Dans ce cas, l'entreprise doit systématiquement appliquer la méthode acceptable dans la pratique. Si les marchandises sont comptabilisées à l'aide d'un compte. 15 et 16, puis du décompte. 41 produits sont amortis au prix d'inventaire approprié. Ensuite, à l'aide d'un calcul spécial, le montant des écarts qui pèsent sur les produits vendus est supprimé.
Comptabilisation des marchandises dans le commerce de détail
Pour gérer efficacement les activités d’une entreprise, il est nécessaire de disposer d’informations économiques précises, objectives, complètes, suffisamment détaillées et actualisées. Cette tâche est accomplie grâce à la comptabilité. L'objet principal de cette activité sont les produits. A cet égard, le service habilité de l'entreprise doit s'assurer que l'entrée des marchandises dans l'entreprise est enregistrée, ainsi que le reflet des transactions relatives à leur cession.
Objectifs d'activité
La comptabilité permet :
- Contrôle de la sécurité des produits.
- Fourniture en temps opportun d'informations au chef d'entreprise sur le revenu brut (réel), l'état des stocks et l'efficacité de son utilisation.
Les tâches qu'implique l'activité ne peuvent être accomplies qu'avec une bonne planification. Les lacunes qui peuvent survenir au cours de celle-ci sont à l'origine de retards comptables, de soumission tardive des rapports et d'autres informations. Les écarts de temps importants entre l'apparition de l'information et son utilisation créent des obstacles à l'augmentation de l'efficacité économique et de la rentabilité de l'entreprise. Les inconvénients de la comptabilité peuvent conduire à sa confusion, à la formation de conditions propices au vol de biens matériels et à une augmentation des coûts de maintien d'un personnel responsable.
Procédure générale
Les règles et délais pendant lesquels la réception des marchandises est enregistrée (en termes d'exhaustivité, de quantité, de qualité), ainsi que leur documentation, sont régis par les conditions techniques de livraison, les contrats et les instructions en vigueur. Toutes les opérations avec des produits sont divisées en deux catégories. Le premier comprend la réception directe des marchandises à l’entreprise. La deuxième catégorie est constituée des opérations d'élimination des produits. La comptabilisation des marchandises dans le commerce de détail est effectuée conformément à la documentation d'accompagnement, aux conditions de livraison, aux règles de transport des marchandises (lettres de transport (lettres de transport, ferroviaires et autres), factures ou connaissements).
Rapports
La comptabilisation des marchandises s'accompagne de la préparation d'une documentation spéciale, qui reflète la disponibilité et le chiffre d'affaires des produits. Son enregistrement est effectué par la personne financièrement responsable. Dans la partie entrante du rapport, chaque document (numéro et date, source de réception des produits, leur montant) est saisi séparément. Après cela, le montant total des éléments capitalisés est calculé, le total avec le solde au début de la période de reporting. La partie consommable contient des informations sur les documents relatifs à l'élimination des produits. En particulier, les données sur la direction des produits, la date et le numéro du papier ainsi que le montant total sont saisies. Ensuite, le solde de production à la fin de la période de référence est déterminé. Chaque type de dépenses et de revenus contient des documents classés par ordre chronologique.
Le nombre total de documents sur la base desquels le rapport est établi est indiqué en lettres à la fin. La documentation doit être signée par l'employé financièrement responsable. Le rapport est établi en 2 exemplaires (copies carbone). Le premier est joint aux documents classés dans l’ordre et soumis au service comptable. Le spécialiste en chef du service, en présence du responsable, vérifie le rapport, indique la date et certifie les deux exemplaires avec sa signature. Le premier reste au service comptable avec les documents joints. Le deuxième exemplaire est remis à l'employé financièrement responsable. Ensuite, chaque document est vérifié pour la conformité des transactions réalisées avec la loi, la politique tarifaire, le calcul et la fiscalité.
Comptes
La comptabilisation des marchandises en stock et en circulation a ses propres caractéristiques. L’un d’eux est leur réflexion sur le décompte. 41 s'effectue au prix de réception, auquel s'ajoute une prime. Si les produits n'appartiennent pas à l'entreprise, ils sont alors enregistrés sur un compte hors bilan. 002, qui enregistre les articles d'inventaire pris en lieu sûr. Si des questions se posent concernant le paiement ou les termes du contrat, il est interdit de vendre les produits jusqu'au remboursement des obligations de livraison. La comptabilisation des marchandises acceptées à commission est effectuée sur un compte hors bilan. 004. L'évaluation analytique des produits peut être effectuée non seulement par des personnes matériellement responsables. Cette activité relève également de la responsabilité du service comptable. L'objectif principal d'une telle évaluation est d'obtenir les informations nécessaires à la gestion des stocks de produits. A la fin du mois selon compte. 41 les résultats sont résumés dans le registre comptable. Ils sont comparés aux indicateurs correspondants pour les autres comptes.
Inventaire
Au cours des activités des sociétés de commerce de détail, il y a une rotation quotidienne des marchandises. Pour contrôler la disponibilité et l'état des biens matériels, un inventaire des contenants et des produits est réalisé. Au cours de celui-ci, la correspondance de la quantité réelle de produits et d'emballages au moment de la vérification de leurs soldes avec les informations issues des états financiers est établie.
Documentation
La comptabilisation des marchandises en entrepôt s'accompagne du remplissage des bons de livraison, des feuilles de routage, des actes et autres documents. Tous ces documents doivent être signés par le chef du service qui livre les produits, ainsi que par la personne responsable du stockage. Les marchandises volumineuses sont généralement acceptées par le client sur le lieu de fabrication, d'assemblage et d'emballage. La personne responsable reflète les informations sur la sortie des produits finis et leur arrivée à l'entrepôt dans une fiche comptable spéciale. Sa forme et son contenu sont similaires au document de réception des matériaux (formulaire n° M-17).
Comptage quantitatif
Elle est réalisée en unités correspondant aux propriétés physiques du produit (poids, surface, volume, en morceaux ou paramètres linéaires). Les produits homogènes peuvent être calculés en termes conditionnellement naturels. Par exemple, les conserves sont représentées par des canettes. L'évaluation analytique est réalisée non seulement en termes quantitatifs, mais également en termes de coûts.
Ventes
La sortie et la comptabilisation des marchandises en magasin s'effectuent au moyen d'une facture. Le formulaire M-15 peut servir de formulaire standard. Les entreprises impliquées dans diverses industries manufacturières utilisent des formes spécialisées de factures et d'autres documents primaires pour l'enregistrement. Ils contiennent des informations obligatoires, reflètent les principales propriétés et caractéristiques des produits expédiés, le nom de la division de l'entreprise qui effectue la fourniture, le nom de l'acheteur et la base du transfert des produits vers lui. La facture est remplie conformément à l'ordre du chef d'entreprise ou d'une personne autorisée par lui, ainsi qu'à l'accord avec le client (acheteur).
Contrôle de l'expédition et de l'exportation
- Dans un entrepôt de produits finis ou au service commercial, une facture est établie en 4 exemplaires. Ils sont transférés au service comptable, où ils sont inscrits dans un journal et certifiés par la signature d'une personne habilitée.
- Les factures visées sont transmises au service commercial. Une copie est prise par la personne financièrement responsable. Pour lui, la facture sert de base à la libération des produits finis. Une facture est émise pour la deuxième facture. Les troisième et quatrième exemplaires sont remis à l'acheteur du produit. Il appose à son tour une signature sur les factures, qui certifie que les produits lui ont été transférés.
- Lorsque l'acheteur exporte des produits, un exemplaire est remis à l'agent de sécurité au poste de contrôle. La facture restante sert de document d'accompagnement.
- L'agent de sécurité enregistre les factures dans un journal spécial puis les transfère selon l'inventaire au service comptable.
- Les services habilités rapprochent périodiquement les informations sur les produits sortis de l'entrepôt et les produits effectivement exportés en comparant les factures avec le journal d'enregistrement.
En plus
Si les produits sont livrés à une entreprise de transport, le transitaire qui accompagne la cargaison reçoit un récépissé pour la réception des objets de valeur. Avec la facture, elle est renvoyée au service comptable pour émettre une facture et un justificatif de paiement. Les documents primaires sur l'acceptation des produits finis et leur expédition au consommateur sont acceptés par le magasinier et vérifiés. Ils sont ensuite utilisés dans la constitution de registres comptables synthétiques et analytiques. La réflexion des produits dans le reporting en tant que ventes est effectuée selon les factures, les reçus de l'entreprise de transport, les certificats de travaux effectués et d'autres documents.
Conclusion
En plus des déclarations décrites ci-dessus, les entreprises tiennent également des registres fiscaux sur les marchandises. Lors de la réception de produits de fournisseurs nationaux, le coût indiqué dans certains documents sera le même. Si les produits sont achetés pour d’autres raisons, il est possible que des écarts soient identifiés. En pratique, on constate les situations suivantes où le non-respect est inévitable :
- Réception des produits gratuitement.
- Réceptionner des produits en devises.
- Détection des surplus lors du processus d'inventaire.
Lors d'achats en devises, des écarts surviennent en cas de paiements anticipés. En comptabilité, le coût des marchandises dans de telles situations est établi au taux en vigueur à la date de déduction de l'argent. Cette exigence est présente dans le PBU 3/06. Aux fins de l'impôt sur le revenu, le coût des marchandises achetées en devises étrangères est déterminé en roubles à la date de leur acceptation comptable.